10% de haut rendement locatif dans l’immobilier à l’étranger

Bien-sûr, pour atteindre ce niveau de haut rendement locatif, il faut

Mais, aussi surprenant que cela puisse paraître, cela ne signifie pas forcément prendre plus de risques.

Lors de mes voyages, j’ai découvert cette opportunité dont j’ai personnellement profité et dont je vous livre les clés dans un rapport spécial (voir plus bas comment vous le procurer).

Du rendement, peu de risques, et une perspective de plus-value importante. Vous ne rêvez pas du tout, il faut juste aller là où le marché est encore plein de promesses.

Voir la vie comme une source d’opportunités et non de risques

 Voyager, sortir de sa zone de confort habituelle, cela permet d’explorer des horizons nouveaux dont on entendrait absolument pas parler en restant dans son salon.

Mais ensuite, face à ces découvertes, deux attitudes sont possibles :

• voir uniquement le risque et se renfermer dans sa coquille

• déceler l’opportunité et le potentiel

Lequel de ces deux états d’esprit permet de s’épanouir, d’aller plus loin dans la vie, de faire fortune selon vous? Et de devenir rentier…

Evidement la seconde.

Prenons l’exemple de Pekin ou Seoul il y a 30 ans.

Ces villes étaient situées dans des pays dont l’économie étaient ce qu’on appelle maintenant “en développement”, et qu’on appelait alors “le tiers-monde”. Dans la plupart des quartiers, les rues étaient encore des cloaques où l’on n’oserait pas emmener sa fiancée ou ses enfants.

Mais le frémissement était perceptible pour celui qui savait détecter les opportunités. Le dynamisme de ces villes et de ces pays était déjà palpable. De nouveaux quartiers émergeaient, modernes et offrant le confort occidental.

Inutile de vous préciser que ceux qui se sont lancés dans l’aventure à l’époque ont fait des fortunes colossales et ont assuré leur avenir et celui de leurs enfants…

La notion relative de risque

Oui, mais c’était risqué! Me direz-vous. Et investir maintenant dans d’autres pays exotiques est aussi risqué, surtout avec la résurgence des tensions géopolitiques…

Oui et non. Vous répondrai-je. Prenons un peu de recul.

1. Savoir évaluer le risque à l’étranger

Premièrement, il faut savoir jauger les pays les plus prometteurs et qui sont sur la voie du développement économique mais aussi sur la voie de la stabilité et de l’accès à l’économie de marché. Je ne parlerai pas de progrès vers la démocratie, car c’est souvent une illusion complète.

Certains pays, comme la Birmanie ou la Colombie, sont irrémédiablement sur le chemin du progrès.

D’autres non, comme le Venezuela, ou l’Egypte.

Ensuite, le facteur culturel, religieux et la mentalité (au travail et dans la société) des populations est un critère très important également.

2. Ne pas sous-estimer le risque en occident : risque financier et risque d’instabilité sociale

Deuxièmement, le risque en Occident est clairement sous-évalué.

La période bénie de l’après-guerre en Europe, où tout le monde savait que demain allait être meilleur pour soi et pour ses enfants est révolue (on retrouve d’ailleurs maintenant cette conviction et confiance dans l’avenir dans certains pays en développement)

Concernant la stabilité civile et la paix sociale, rien n’est acquis définitivement, hélas. Il y a clairement certaines forces déstabilisatrices à l’oeuvre, en particulier en Europe.

Si les Etats, qui vivent au-dessus de leurs moyens, venaient à s’affaiblir à cause d’une crise de confiance dans leurs capacités à rembourser l’énorme dette publique, l’ambiance dans la société pourrait mal tourné à cause des tensions ethniques et sociales sous-jacentes.

Je ne suis pas du tout en train de prédire une guerre civile, je ne pense pas que cela va arriver, mais je veux dire que le risque est davantage présent que l’on a tendance à le penser. Un risque pour vos investissements (assurance-vie investies en obligations d’Etat, immobilier, etc), et un risque également pour votre intégrité physique.

Un scenario possible est aussi que l’Etat devienne un rapace encore plus liberticide au nom de l’“intérêt supérieur de la Nation” et vous confisque votre épargne ou certains biens pour renflouer les caisses. Du genre emprunt obligatoire ou impôt confiscatoire (bon ok, la France par exemple est déjà un enfer fiscal, mais ça peut être encore pire en cas d’urgence, feuilletez vos livre d’histoire!)

Le triple avantage d’investir dans l’immobilier en direct à l’étranger

Je vois un triple avantage à investir dans un pays judicieusement choisi à l’étranger :

• diversifier internationalement ses avoirs dans un actif tangible (contrairement à un fonds ou ETF) avec un ticket d’entrée relativement faible (50 k€)

• faire un “coup” immobilier (rendement locatif et plus-value) qui augmente grandement l’état de son patrimoine et change la vie. Cela permet de profiter d’une croissance économique qui s’est déplacée de l’Occident vers les pays en développement. Profiter de la mondialisation dans le bon sens en quelque sorte.

• avoir un plan de secours au cas où cela tourne mal en Europe, non seulement pour protéger une partie de son capital, mais aussi son intégrité physique et celle de sa famille dans le pire des cas (déménagement possible)

Et dans ce cas précis, je peux ajouter : obtenir du haut rendement pour prendre le chemin de devenir rentier.

Si vous voulez savoir plus précisément de quoi je parle et comment faire, lisez mon rapport spécial sur l’immobilier en Asie que vous aurez l’opportunité de télécharger par email quelques jours après votre inscription au club zenoption.

L’inscription au club est encore gratuite pour l’instant, profitez-en.

Atteindre 10% de rendement dans l’immobilier est aussi possible grâce à une autre technique que j’explique ici et qui s’appuie sur l’immobilier papier et l’utilisation des options.